La majorité numérique a toujours été au cœur de débats depuis l’instauration du web. À l’ère du numérique en constante croissance, notamment à cause de l’implémentation des réseaux sociaux, cela est une source de plus en plus problématique en ce qui concerne la santé des mineurs.
Un contenu de moins en moins contrôlé
Les réseaux sociaux sont un moyen de communication et de création 2.0 dont le petit dernier est BeReal. Toutefois, le contenu des réseaux sociaux n’est plus aussi filtré qu’auparavant. Cela résulte de la volonté des gérants de plateformes d’autoriser la liberté d’expression sous toutes ses formes. L’unique limite que beaucoup de plateformes ont en commun est le partage de contenu à caractère pornographique.
La majorité numérique : une protection de la jeunesse
Il en faut peu pour heurter l’âme des personnes les plus sensibles. Les propos racistes, sexistes ou homophobes que l’on peut trouver dans les commentaires des réseaux sociaux ne sont pas une bonne leçon de vie pour les mineurs. En passant des heures entières à scroller le contenu, ils deviennent familiers avec l’emploi de certains termes et adhérant ainsi aux idéaux véhiculés.
L’instauration d’une majorité numérique à 15 ans a pour objectif de protéger les enfants des réseaux sociaux en songeant à ce que les plateformes mettent en place une solution efficace lors de leur inscription. Cela aura pour effet de mieux prévenir et traquer les délits en ligne, comme le cyberharcèlement.
Des préoccupations diffusées par le Journal officiel
Les autorités ne démordent pas de prendre le phénomène de l’inscription précoce en ligne comme un caractère aggravant et comme un comportement interdit. Le journal officiel répand cette résolution comme un moyen de :
- laisser les jeunes utiliser les réseaux sociaux en toute autonomie à partir de l’âge de 15 ans,
- prévenir et combattre le cyberharcèlement,
- une lutte pour la santé mentale des enfants surexposés par des proches en ligne.
C’est une manière de poser des limites sur l’usage de l’internet nouvelle génération.
Des taux d’inscription interdite préoccupants
Les jeunes d’aujourd’hui vivent les choses de la vie à un rythme de plus en plus prématuré. Cela est dû à leur exposition aux nouvelles diffusées sur les canaux sociaux, mais aussi au manque de vigilance des parents. Il faut dire que certains parents sont même incapables d’utiliser un ordinateur ou un téléphone portable correctement. Près de 63 % de mineurs de moins de 13 ans sont inscrits sur des réseaux qui proscrivent l’inscription à cet âge.
Les études ont informé que 80 % des parents ne savent effectivement pas ce que leurs enfants font lorsqu’ils connectent en ligne. Une fixation de l’âge légal pour s’inscrire sur les réseaux sociaux devrait éloigner le taux de troubles et d’agressions constatés sur les mineurs, qui manquent souvent de vigilance face aux annonces qu’ils aperçoivent en ligne.
Passionnée de décoration, je partage ici mes trouvailles en toute simplicité.