Outre les bracelets et montres connectées qui connaissent un grand succès auprès des férus de technologie, les brevets publiés par Samsung apportent une tout autre dimension à la connectivité. Un objet miniature à porter au doigt signé Circular qui amène même l’armée à s’y intéresser.
Pourquoi opter pour une bague connectée ?
Au-delà d’être une tendance de la tech indéniable depuis quelques années, la bague connectée ne cumule pas plus de fonctionnalités qu’un bracelet connecté. Lors de sa sortie en 2014, la smart ring connaît peu d’affiliation sur le marché. Prometteuse, mais pas encore assez développée pour battre son concurrent de poignet. Les avancées technologiques permettent de mettre à niveau la smart ring autant sur le plan technique qu’esthétique.
Des marques qui s’arrachent cet objet connecté
Si Circular est la dernière en date à avoir renouvelé la conception du wearable miniature, d’autres grands noms promettent de s’attacher au sujet prochainement. Déjà deux grands noms avaient promu leur création : Oura et Samsung avec sa bague connectée nommée Galaxy Ring. Aujourd’hui, ce serait Apple qui s’intéresse grandement à développer un tel objet connecté.
D’une technologie NFC à une bague pour la santé
Dans ses premières versions, la bague connectée était surtout vouée à être un accessoire NFC. Elle servait à partager des données, numériser la suite chiffrée de certains objets physiques à clé comme un badge ou encore une carte bancaire. Aujourd’hui, l’envergure prend une autre dimension en proposant un objet intelligent doté de capteurs et d’une batterie.
La smart ring sert davantage pour la santé et le bien-être de son porteur. En étant reliée à une application mobile, elle fournit des données précises et collectées en temps réel. Cela est pertinent pour aider les personnes à déceler des déficiences ou contrôler certains aspects de leur vie quotidienne. Elle accompagne les utilisateurs :
- dans leur activité physique,
- dans leur contrôle d’alimentation,
- dans le suivi de la qualité de leur sommeil,
- pour contrôler leurs pulsations cardiaques.
Les entreprises discutent déjà les autres fonctionnalités qui pourraient être ajoutées au dispositif.
L’armée s’intéresse à la big tech
La bague connectée n’est pas un simple objet anodin. Les avancées promettent de pousser les caractéristiques de la montre dans son usage. On peut déjà imaginer qu’elle puisse posséder un détecteur d’accident ou envoyer automatiquement des coordonnés de localisation GPS aux urgences suite à la survenance d’un incident mettant en danger de mort immédiate son porteur. Certains corps de l’armée française suivent ainsi de près le domaine. Les sapeurs-pompiers, par exemple, trouvent un intérêt grandissant dans les propositions supposées par un tel dispositif.
Passionnée de décoration, je partage ici mes trouvailles en toute simplicité.